Dans un nouvel épisode de tentatives de déstabilisation, il semblerait que Princesse de Souba et sa complice de fortune, Tamara José Mengne Mbo, aient cru bon de s’en prendre à Bertrand Zibi, figure respectée de la scène politique gabonaise. Leur objectif aurait été de salir l’image d’un homme de principes, fidèle à la transition et au chef de l’État, le Général Brice Clotaire Oligui Nguema. Cependant, en s’associant avec des personnages au passé controversé, elles risqueraient de ne récolter que du ridicule.
S’attaquer à une personnalité aussi intègre que Bertrand Zibi exigerait des arguments solides et des alliés crédibles. Or, il semblerait que Princesse de Souba, dans sa volonté d’attaquer un homme dont l’engagement n’est plus à prouver, ait commis l’erreur de s’appuyer sur Tamara José Mengne Mbo, un nom souvent associé à la fraude et à la manipulation. Une telle association pourrait s’avérer préjudiciable et nuire à la crédibilité de son offensive.
Si l’on en croit certaines sources, Tamara José Mengne Mbo, qui se présenterait faussement comme avocate inscrite au barreau de Paris, aurait déjà été démasquée comme une usurpatrice. Des accusations d’escroquerie bancaire en France viendraient ternir son image et l’empêcheraient de gagner la confiance du public.
Princesse de Souba aurait-elle sous-estimé l’impact d’une telle alliance ? Aurait-elle seulement suivi un penchant pour des stratégies douteuses ? Dans tous les cas, en choisissant une complice aussi peu recommandable, elle prendrait le risque de transformer son attaque en fiasco.
Par ailleurs, en s’en prenant à Bertrand Zibi, Tamara José Mengne Mbo chercherait surtout à gagner en notoriété et à éviter une expulsion imminente de France. Multiplier les attaques contre les autorités gabonaises pourrait lui permettre de se présenter comme une victime politique, alors que ses démêlés relèveraient davantage du droit pénal que d’un réel engagement militant.
Néanmoins, cette stratégie semblerait peu efficace. Bertrand Zibi, connu pour sa droiture et sa constance, ne devrait pas être inquiété par ces accusations. Au contraire, ses détractrices pourraient être celles qui sortiraient affaiblies de cette tentative de déstabilisation.
L’opinion publique, vigilante, ne manquerait pas de percevoir cette manœuvre comme une manipulation grossière. Pendant que certains s’agiteraient en coulisses, Bertrand Zibi, lui, continuerait son combat pour un Gabon apaisé et réconcilié. Finalement, cette attaque pourrait renforcer encore davantage sa stature, rappelant que l’intégrité et la vérité finissent toujours par triompher sur la calomnie et l’opportunisme.