Makokou, 14 février 2025 – Alors que la capitale ogivine vibrait au rythme de la fête des amoureux, un événement plus discret mais tout aussi significatif se déroulait dans les quartiers de Mbolo. Ce jour-là, plusieurs associations locales de femmes s’étaient réunies autour de leur sœur, mère et tante, Nathalie NGONDET, une figure bien connue pour son engagement et son altruisme.
Nathalie NGONDET, ayant fait le déplacement depuis Libreville, n’est pas seulement une femme de cœur ; elle incarne l’esprit de solidarité qui règne parmi ces femmes makovistes. En guise de vœux pour la nouvelle année, elle a apporté une enveloppe contenant une somme d’argent afin de soutenir les femmes de ces associations, tout en n’oubliant pas les notables, les chefs des quartiers de Mbolo, et bien sûr, les jeunes. L’atmosphère était conviviale et familiale, accompagnée de chants traditionnels, un véritable reflet des valeurs que Nathalie NGONDET incarne.
« Nous avons besoin de leaders qui se soucient vraiment de nous, pas seulement en période électorale », a déclaré une des participantes. « Nathalie est ici pour nous aujourd’hui, alors que d’autres promettent monts et merveilles juste avant les élections. »
Ce geste, ancré dans la tradition philanthropique, n’était ni motivé par des ambitions politiques ni par des agendas cachés, comme souvent soupçonné dans le paysage politique ogivin. Au contraire, il rappelle que l’entraide et la solidarité doivent transcender les enjeux électoraux.
Nathalie NGONDET a déclaré : « Mon seul objectif est de soutenir les femmes de Mbolo. Il est essentiel d’être présent pour celles qui en ont besoin, indépendamment du calendrier politique. »
Ces mots résonnent avec une vérité poignante alors que les makovistes aspirent à plus de sincérité et de dévouement de la part de leurs dirigeants. Dans un contexte où les promesses électorales se multiplient, beaucoup appellent à une prise de conscience collective : « Ce que Nathalie représente, c’est ce que nous désirons tous. Un engagement constant, pas seulement lorsqu’il s’agit de gagner des voix », a ajouté un jeune du quartier.
En effet, des voix s’élèvent dans la société civile, réclamant un changement de paradigme dans la façon dont les politiciens interagissent avec la population. Kofi Annan, dans son discours de réception du prix Nobel de la paix en 2001, a souligné : « La lutte pour un monde meilleur est une lutte pour la dignité humaine. »
Ainsi, ce 14 février, alors que certains célébraient l’amour, d’autres ont trouvé une source d’inspiration dans l’altruisme et la générosité d’une femme qui, sans tambour ni trompette, continue de faire briller la lumière de l’espoir au sein des femmes de Makokou.
Bien avant cette date, le 13 février, elle était déjà dans les quartiers de Mbenza, Mbadi Carrefour et Iyôkoh pour ce même geste envers sa grande famille.
Les makovistes attendent avec impatience d’autres gestes de cette nature, qui rappellent que la politique devrait avant tout être au service de la population et de ses besoins quotidiens.
