Sous la houlette du président Brice Clotaire Oligui Nguema, le Gabon entre dans une ère de refondation. Après des décennies de mauvaise gouvernance, la Transition œuvre à reconstruire un État juste, équitable et tourné vers la dignité nationale.
Depuis son arrivée à la tête du pays, le Chef de l’État a lancé une série de réformes structurelles : relance des infrastructures, moralisation de la vie publique, réhabilitation des services essentiels et gabonisation des emplois.
Ces mesures, inspirées par une volonté de rupture, visent à rétablir la confiance entre l’État et le peuple après des années de méfiance.
Les chantiers de routes, d’eau potable, d’hôpitaux et d’écoles se multiplient, illustrant la détermination du gouvernement à restaurer la dignité du citoyen gabonais.
Dans le secteur pétrolier, stratégique pour l’économie nationale, le gouvernement met la pression sur les entreprises afin de corriger les inégalités entre travailleurs nationaux et expatriés.
Sous l’impulsion du président Oligui Nguema, les ministres Sosthène Nguéma Nguéma et Patrick Barbera Isaac ont engagé une gabonisation effective des emplois et l’harmonisation des salaires pour rétablir la justice dans le monde du travail.
Une mission de contrôle prévue à Port-Gentil en novembre prochain devrait évaluer la conformité des entreprises aux nouvelles normes sociales et économiques imposées par l’État.
Au-delà des réformes techniques, le président Oligui Nguema incarne un changement de culture politique : transparence, responsabilité et rigueur.
En rompant avec le système Bongo-Valentin, il impose une gouvernance morale et patriotique, centrée sur la justice sociale et la réhabilitation du mérite.
Cette transition, si elle se poursuit avec constance, pourrait réconcilier le Gabon avec lui-même et redonner au pays la place qu’il mérite sur la scène africaine : celle d’une nation souveraine, juste et respectée.
