Ce qui s’est joué ce 20 décembre 2025 dépasse largement le cadre d’une célébration de Noël.
C’est un signal. Un basculement. Un moment de République.
Le Palais Rénovation, longtemps perçu comme un espace fermé, réservé à une minorité, a changé de visage. Le temps d’une journée, il s’est ouvert à ceux que l’on n’y voyait jamais : les enfants des quartiers populaires, ceux que l’on appelle familièrement les Makaya.
Ils étaient 2 500, venus d’Akébé, de PK, de Bagos, d’Antimié Tsoss, de Rio, de Kembo, de Belle-Air, de Plein-Ciel, de Nzeng-Ayong, de Mindoubé Poubelles et d’autres zones trop souvent absentes des grands récits nationaux.
Jamais, en 17 ans, un tel nombre d’enfants issus exclusivement de milieux défavorisés n’avait franchi les grilles du Palais présidentiel.

Ce jour-là, la République s’est déplacée vers eux.
Mieux encore : elle les a placés en son cœur.
Pour beaucoup, c’était une première. Le Palais, jusque-là aperçu à travers un écran, devenait un lieu réel, accessible, presque familier. Un espace où l’on ne se sentait plus exclu, mais reconnu.

Sous la présidence de Brice Clotaire Oligui Nguema, le symbole est fort : le pouvoir cesse d’être un cercle fermé. Il s’ouvre, il se rapproche, il assume la proximité avec celles et ceux qui vivent loin des privilèges.
Avec l’initiative « Noël Ensemble », portée par le Chef de l’État et la Première Dame, Zita Oligui Nguema, le message dépasse les mots. Il s’inscrit dans les actes. Ici, pas de discours grandiloquents, mais un geste concret, lisible, profondément humain.

Ce Noël 2025 ne restera pas seulement dans les mémoires pour les cadeaux et les rires d’enfants. Il restera comme le moment où le Palais a cessé d’être un symbole inaccessible pour devenir un espace partagé.
Parce qu’une image, parfois, suffit à résumer toute une vision de la République :
celle d’un État plus proche, plus inclusif, et résolument tourné vers tous ses enfants, sans distinction d’origine ou de quartier.



