Le symposium organisé par l’Union Socialiste et Progressiste (USP) sur la refondation de l’école gabonaise s’est achevé avec une allocution empreinte de gratitude et de détermination, prononcée par les responsables de l’organisation.
Remerciements et mobilisation collective
Au terme des deux jours d’échanges intenses, les organisateurs ont salué :
- Les conférenciers pour leurs contributions éclairées, partageant expériences et expertises sur les défis et les solutions pour l’école gabonaise.
- Les membres de l’USP, dont l’engagement et le dynamisme ont permis une organisation sans faille.
- Les participants, pour leur présence active et leurs interventions riches qui ont alimenté les débats.
Deux exercices majeurs
Le symposium a permis d’accomplir deux objectifs essentiels :
- Dresser un diagnostic complet des maux qui affectent le système éducatif gabonais, grâce à des interventions pertinentes et des débats interactifs.
- Tracer des pistes d’actions concrètes pour une refondation en profondeur, touchant à la fois les formes et les contenus de l’éducation.
Un rendez-vous pertinent dans un contexte clé
Dans un contexte politique marqué par la transition, ce symposium a été jugé opportun et porteur de solutions. La présence notable de représentants du ministère de l’Éducation nationale, dont Madame Camélia Ntoutoume Leclercq, a souligné l’importance accordée à cette problématique par les plus hautes autorités.
Engagement pour la suite
L’USP s’engage à transmettre sans délai le rapport des travaux au Chef de l’État, le Général de Brigade Brice Clotaire Oligui Nguema, ainsi qu’au Premier Ministre, Raymond Ndong Sima. Ce document compilera les résolutions et recommandations issues du symposium, apportant des contributions concrètes aux efforts de refondation.
Reconnaissance et espoir
En clôturant l’événement, les responsables de l’USP ont exprimé leur reconnaissance pour l’intérêt porté à cette initiative et ont réaffirmé leur engagement à travailler pour un système éducatif rénové et inclusif.
Ce symposium marque ainsi une étape clé dans la réflexion collective pour redonner à l’école gabonaise ses lettres de noblesse et répondre aux défis éducatifs du XXIe siècle.
