La montée des conflits homme-faune constitue aujourd’hui l’un des défis majeurs auxquels sont confrontées de nombreuses communautés rurales gabonaises. Attaques d’animaux sauvages, destructions de cultures, pertes de vies humaines : le phénomène prend une ampleur inquiétante et appelle des réponses fortes.
Face à cette situation, le Président de la République, Brice Clotaire Oligui Nguema, a choisi d’agir avec lucidité et pragmatisme. Refusant toute posture idéologique, le Chef de l’État a exigé le renforcement des barrières électriques dans les zones les plus exposées et l’élaboration d’une politique de régulation adaptée aux réalités du terrain.
Plus encore, le Président a demandé une réflexion approfondie sur l’évolution du cadre juridique encadrant les situations où des citoyens agissent pour protéger leur vie et leurs biens. Une démarche courageuse, qui reconnaît que la protection de la faune ne peut se faire au détriment de la sécurité humaine.
Dans le même esprit d’équilibre, une réflexion a été ouverte sur la commercialisation encadrée de la viande de buffle, dans le strict respect des normes environnementales et des équilibres écologiques. L’objectif est clair : concilier protection de la biodiversité, sécurité alimentaire et réalités socio-économiques des populations rurales.
Cette approche illustre une vision de l’État fondée sur le dialogue, l’adaptation et l’efficacité. Sous la conduite d’Oligui Nguema, la politique environnementale gabonaise se veut désormais plus réaliste, plus humaine et davantage ancrée dans le vécu des citoyens.
Protéger la nature sans oublier l’homme.
Gouverner avec équilibre et responsabilité.
