A la tête du département de la Communication à la Présidence de la République, Patricia Lydie Mouele a amorcé ce mardi 20 mai 2025 un premier pas symbolique mais fort vers les professionnels des médias. C’est autour d’un petit-déjeuner convivial dans un hôtel de la commune d’Akanda qu’elle a rencontré les représentants de la presse publique et privée, dans une ambiance empreinte de cordialité et d’écoute.
Une volonté de bâtir une relation durable avec la presse
Loin d’un simple rendez-vous protocolaire, cette rencontre avait pour objectif de poser les bases d’une relation constructive et pérenne entre la Présidence et les médias. Consciente de l’impact des journalistes dans le façonnement de l’opinion publique et la transparence démocratique, Patricia Lydie Mouele a tenu à saluer l’engagement quotidien de ces professionnels dans la diffusion et l’explication de l’action gouvernementale.
Elle a insisté sur l’importance de reconnaître et valoriser le rôle des médias dans une démocratie fonctionnelle, tout en soulignant sa volonté d’adopter une posture de dialogue, de confiance et de respect mutuel.
Une vision de la communication fondée sur l’ouverture
Fidèle à sa réputation de pragmatisme et de professionnalisme, la nouvelle responsable a partagé sa vision : une communication institutionnelle fluide, réactive et surtout, accessible. Pour cela, elle entend faciliter l’accès des journalistes à l’information officielle, en mettant en place un cadre structuré d’échanges réguliers et transparents.
Patricia Lydie Mouele souhaite ainsi instaurer un climat de travail propice à la coopération, où les enjeux institutionnels pourront être mieux compris et relayés par les médias, sans entrave ni opacité.
Une nouvelle ère pour la communication présidentielle ?
Cette initiative marque un tournant dans les relations entre la Présidence et les organes de presse. En tendant la main aux journalistes, Patricia Lydie Mouele envoie un signal clair : la Présidence veut renouer avec une culture de dialogue, loin des rapports parfois tendus du passé. Elle aspire à créer un environnement où l’information circule librement, condition indispensable pour une presse performante et une population bien informée.
En somme, ce petit-déjeuner n’était pas qu’un simple moment d’échange : il pourrait bien être le point de départ d’une nouvelle dynamique, où communication institutionnelle rime enfin avec transparence, accessibilité et confiance.
